Le mouvement dada, ou dadaïsme, a démontré que dans le domaine de l’art, tout est possible. Né dans les années 1910, ce mouvement s’est initialement illustré par des collages où des éléments divers étaient superposés, défiant les conventions artistiques de l’époque. Aujourd’hui, on pourrait considérer que le dadaïsme se prolonge à travers les nouvelles technologies, notamment par la génération d’images par intelligence artificielle (IA).
Dans ma production artistique, je fais écho à ce tout début du dadaïsme en explorant le collage, tout en intégrant des notions contemporaines comme la structure des points géographiques. Mon travail va au-delà de cet héritage historique en combinant plusieurs médiums : photographie, céramique et peinture. À travers cette approche, je propose une œuvre personnelle qui pourrait s’inscrire dans le mouvement dada, en fusionnant des techniques traditionnelles et modernes, notamment la génération d’images par IA.
Ce document se compose d’une série d’interprétations et de compositions d’œuvres d’art issues d’un processus collaboratif. L’artiste, dans ce contexte, joue le rôle d’interprète des idées exprimées par d’autres individus, qui eux-mêmes suivent des instructions essentielles à la création artistique. Ainsi, ce processus explore la distance entre l’intention initiale, la perception des participants et le résultat final, tout en questionnant les notions de contrôle, d’inspiration et d’individualité dans la création artistique.
J’essaie de trouver comment intégrer l’argile rouge dans ma production, qui prend la forme d’un scrapbooking géant (65 x 70 cm). Mon travail mêle des collages de photos issues de magazines, ma propre expérience photographique, ainsi que des images générées par IA. La peinture vient ensuite relier ces éléments pour offrir une vision qui reflète ma perception et ma sensibilité artistique.
Comment poser l’argile rouge pour qu’elle se casse le moins possible tout en adhérant au support ? Si cela ne s’avère pas viable, comment intégrer autrement la céramique dans une production que je souhaite avant tout axée sur trois médiums principaux : la céramique, la photographie et la peinture. Mon support étant du papier académique, je rencontre des difficultés pour y fixer durablement la céramique.
Comment poser l’argile rouge pour qu’elle se casse le moins possible tout en adhérant au support ? Si cela ne s’avère pas viable, comment intégrer autrement la céramique dans une production que je souhaite avant tout axée sur trois médiums principaux : la céramique, la photographie et la peinture. Mon support étant du papier académique, je rencontre des difficultés pour y fixer durablement la céramique.
Autrefois utilisé comme une insulte, ce mot désignait les esclaves en fuite (les Marrons). Au fil du temps, sa connotation a changé et il est aujourd’hui principalement utilisé pour stigmatiser des personnes perçues comme problématiques ou en marge de la société. Pourtant, à l’origine, ce terme incarnait la rébellion et la quête de liberté, et non une vision péjorative.